Para los que se dan maña con el francés, Guy sorman te canta la justa:
L’Obamania qui saisit l’Europe rend aléatoire une évaluation sereine du bilan de George W.Bush et de l’état véritable des Etats-Unis. À suivre la pente de l’opinion majoritaire, ou à céder au terrorisme intellectuel, il faudrait croire que Bush laisse derrière lui une Amérique en lambeaux et qu’il reviendrait à Obama de reconstruire sur une table rase. Cette vision d’apocalypse est, au moins, à moitié fausse : la présidence de Bush reste à évaluer sans passion, Obama n’est pas le messie, il n’envisage pas de l’être et son pays n’est pas en ruines.
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